Vapoter, ce n’est pas fumer. Et cela constitue un moyen éprouvé pour arrêter de fumer
Toronto, le 17 janvier 2022 – Les vapoteurs de partout au Canada veulent prendre leur place dans le cadre de la Semaine nationale sans fumée. Sous le thème #SmokeFreeWithVaping, les vapoteurs veulent faire entendre leur voix afin d’exiger que les gouvernements reconnaissent que le vapotage est moins nocif pour la santé que le tabagisme et peut aider les fumeurs à arrêter de fumer.
« Traditionnellement, nous avons été exclus du débat même si nous sommes les plus touchés par la réglementation », a déclaré Maria Papaioannoy, porte-parole de Rights4Vapers, la plus grande organisation de défense des droits des consommateurs de produits de vapotage au pays. « Des milliers de Canadiens ont arrêté de fumer grâce au vapotage. Tous les jours, nous entendons leurs histoires. Ne méritons-nous pas une place à la table ?
Malgré la reconnaissance internationale que le vapotage est moins nocif que le tabagisme, le Canada a mis du temps à adopter le vapotage dans le cadre de sa stratégie de réduction des méfaits du tabac. L’an dernier, plus de 23 000 Canadiens ont écrit à Santé Canada pour s’opposer à un projet de règlement qui interdirait toutes les saveurs dans les produits de vapotage, à l’exception de la menthe, du menthol et du tabac.
Le Dr Konstantinos Farsalinos, l’un des plus éminents chercheurs au monde sur l’impact des saveurs dans les comportements de vapotage a publié une étude en décembre 2021 dans laquelle il déclare que « si l’interdiction des arômes dans le vapotage entre en vigueur, cela pourrait conduire inévitablement les consommateurs à se tourner vers des produits illicites, vers le marché noir ou carrément retourner aux cigarettes traditionnelles »
« La notion de « sans fumée » peut inclure le vapotage », a déclaré Mme Christina Xydous, porte-parole, la Coalition des droits des vapoteurs de Québec. « Les saveurs sont très importantes parmi les raisons évoquées pour lesquelles un fumeur choisit de vapoter »
Une étude de l’Université de Waterloo a révélé que 20 % des vapoteurs recommenceraient à fumer si une interdiction des saveurs était introduite et 13 % ont déclaré qu’ils ne savaient pas ce qu’ils feraient.
« Un vapoteur qui recommence à fumer, c’est un de trop », a déclaré Mme Papaoiannoy. « Santé Canada doit être vigilent et corriger toute la désinformation qui malheureusement circule sur le vapotage. Vapoter est MOINS nocif que de fumer. Aucun Canadien n’est mort l’an dernier à cause du vapotage. Par contre, près de 50 000 Canadiens sont morts du tabagisme.
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